Maïté Molla Petot

Thérapeute pour humains et animaux
Formatrice - Auteure

06 78 57 49 97
186 impasse malfosse, 88420 Moyenmoutier
Consultations sur rdv
mardi, jeudi et vendredi de 10h à 12h, et de 14h à 18h
Et samedi de 10h à 15h

OMS, UE : la direction claire dans laquelle nous nous dirigeons.

L’OMS veut imposer son traité sur les pandémies

Voici tout d’abord l’article reçu de la Fondation Hippocrate (je suis abonnée à leur newsletter) le 16 novembre 2023 à 21h07, par mail. Il faut le lire afin de bien comprendre où est le problème. Mais, dans un second temps, à la fin de cet article, téléchargez le document « courrier sénateur député » et envoyez-le justement à vos députés et sénateurs afin d’agir. Ce document est au format traitement de texte et non en pdf donc vous ne pourrez l’ouvrir que depuis un ordinateur et non un téléphone portable.

Voici donc, pour commencer, l’article qui a alerté la France sur ce qui est en train de se passer :

Fondation Hippocrate

Primum non nocere
Chers lecteurs, 

Loin du regard médiatique et des inquiétudes des citoyens, il se trame à Genève l’une des révolutions de palais les plus décisives de toute l’histoire de l’humanité. Si vous avez aimé la pandémie, si vous avez aimé les confinements et les campagnes massives de vaccination, vous allez être servis. Il y en aura d’autres. (1)
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS), dont le siège est en Suisse, veut imposer un nouveau traité sur les pandémies et les urgences sanitaires qui lui donnerait un pouvoir exorbitant. Grâce à cet accord international, l’OMS serait la seule organisation dans le monde ou, au moins en Occident, à pouvoir décréter quand les habitants de la planète sont en train de vivre une catastrophe sanitaire. (1,2)
L’OMS veut pouvoir dicter son agenda aux populations du monde entier. Par quels moyens et dans quel but ?

Un champ d’action illimité pour l’OMS

L’avocat suisse Philipp Kruse a été l’un des premiers à tirer la sonnette d’alarme lors d’une réunion du Parlement européen à Strasbourg le 13 septembre dernier. (1)
Il rappelle que l’OMS, par le traité sur les pandémies qu’elle propose, veut augmenter ses pouvoirs financiers et décisionnels de façon inédite. Les premiers projets de textes pour ce traité sont accessibles à tous. Ils sont rédigés en anglais et montrent que l’OMS souhaite élargir ses prérogatives de manière considérable. (1,2)
Le projet de texte donne à l’OMS le pouvoir de s’autosaisir dès lors que sont concernés les sujets suivants (1) :

la santé animale ;
la protection des écosystèmes ;
le niveau de CO2 ;
la santé humaine.

L’OMS deviendrait la garante de la bonne application au niveau international de ses propres recommandations dans le domaine de la santé, mais aussi de pans entiers du droit de l’environnement. Elle pourrait s’intéresser au réchauffement climatique, à la décarbonation, aux mesures de transition adoptées par les États signataires du traité sur les pandémies, etc. (1,2)

Une autosaisine pour les pandémies

De surcroît, d’après ce texte, l’OMS pourrait décider seule (1,2) :

de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie ;
de la nécessité de procéder à des confinements ;
de la mise en place d’un passeport vaccinal ;
d’une surveillance accrue des populations ;
d’une politique officielle de censure relative aux sujets de santé ;
des traitements autorisés pour les populations ;
du caractère obligatoire des vaccinations éventuelles ;
de la distribution et de l’administration des vaccins ;
des modes d’évaluation des vaccins et des traitements imposés aux populations ;
des fabricants autorisés à produire les vaccins et traitements.

L’OMS ne serait plus dépendante des États pour se prononcer sur une situation donnée, mais pourrait agir seule, sans mandat particulier. Dans les faits, c’est déjà un peu ce qui se passe, mais le fait de l’acter juridiquement est très différent. Il serait plus difficile de revenir sur le nouveau statut de l’OMS, une fois que celui-ci aurait été adopté. (1,2)

Un traité dont les premières dispositions interpellent

Les articles 1 et 2 du traité donnent des définitions qui viennent compléter son champ d’application. Le texte évoque les “produits de santé” sur lesquels l’OMS a une autorité totale. Cette définition est très large. (1,2)
La notion de produits de santé couvre :

toutes les thérapeutiques,
les vaccins, tout équipement médical,
tout équipement de protection,
tout outil de diagnostic,
les accessoires médicaux,
les thérapies géniques et chacun des éléments qui compose les thérapies géniques,
les systèmes de données,
tout ce qui relève de l’ingénierie médicale.

Cette longue liste dénote une volonté englobante de la part de l’OMS pour ne pas dire totalitaire. De surcroît, les observateurs indépendants s’inquiètent de voir le fruit des premiers débats internes à l’OMS. Car entre la première version et celles qui ont suivi, des modifications substantielles ont été apportées. (1,2)
Ainsi, le premier texte précisait que sur la question des vaccins, les recommandations de l’OMS étaient non contraignantes. Mais dans la nouvelle version, le “non” a disparu. De même, le texte mentionnait que la politique recommandée par l’OMS devait se faire “dans le respect des droits de l’homme et de la dignité humaine”. Mais cette disposition a été retirée. Aucun mécanisme de remise en cause des recommandations de l’OMS n’est prévu.

L’OMS est en ordre de marche

C’est en 2021 que l’OMS a annoncé sa volonté de changer profondément le droit international de la santé à travers deux instruments juridiques (3,4) :

un nouveau traité sur les pandémies ;
des amendements significatifs aux régulations internationales de santé (International Health Regulations) qui sont actuellement en vigueur.

Le traité devrait être validé par les États. En revanche, les nouvelles régulations ne seront pas sujettes à un vote des États et encore moins des populations. Si les discussions juridiques relatives à ces documents se font en catimini, la démarche est tout à fait officielle. L’OMS veut ce nouveau cadre juridique pour affermir son influence sur la santé et l’environnement dans le monde. (1,2)
Le 20 septembre dernier a eu lieu un sommet sur la santé entre chefs d’États du monde entier. À cette occasion, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le secrétaire général de l’OMS s’est félicité de l’engagement des États pour rendre le monde plus sûr et protégé des effets dévastateurs des pandémies. Il a évoqué la nécessité d’avoir un cadre global pour la santé qui s’applique directement aux populations du monde entier. Il évoque même une “architecture globale pour les urgences sanitaires”. (3,4)
L’ambition affichée est cohérente avec la volonté d’adopter un nouveau traité contre les pandémies. Mais le transfert de pouvoir que souhaite l’OMS est massif. L’institution aimerait que les États, en temps d’urgence sanitaire, ne soient plus souverains. (1,3)

Une organisation sous influence de la Fondation Gates

Il existe de nombreux défis sanitaires et écologiques dans le monde. La pollution des eaux ou de l’air par exemple, sont des priorités absolues. Mais ces problèmes ne sont pas visés par le projet de réforme. Pour l’OMS, ce qui compte, c’est la santé animale, le CO2 et les pandémies. Pourquoi ? Parce que ces trois domaines d’actions sont exactement ceux dans lesquels la Fondation Bill et Melinda Gates veut agir. (5,6,7,8)
En fait, les objectifs de l’OMS pour les années à venir sont absolument identiques à ceux de Bill Gates. Ils ne sont pas le fruit d’une volonté affichée des États ou des populations. Ce sont les causes que le milliardaire américain et sa fondation ont toujours défendues. Ces causes permettraient de mettre en place le vieux rêve dystopique que poursuit Bill Gates : un monde sous surveillance dont la population serait limitée et contrôlée grâce au passeport vaccinal et numérique. (1)
Mettre en avant la santé animale pourrait permettre de pousser les citoyens des pays signataires du traité de l’OMS à devenir végétarien ou végan. (5) C’est pour atteindre ces objectifs que Bill Gates a lourdement financé :

l’OMS via la Fondation Bill et Melinda Gates, qui est le premier contributeur privé largement au-dessus de tous les États, à l’exception des États-Unis ou de l’Allemagne, selon les années. En 2018-2019, les États-Unis ont versé près de 900 millions de dollars à l’OMS et la Fondation Bill et Melinda Gates a donné 531 millions de dollars. En plus, les États sont souvent en retard dans leurs versements à l’OMS, ce qui n’est pas le cas de la Fondation. De fait, cette dernière est très influente à l’OMS. (8)
le projet GAVI ou alliance vaccinale mondiale dont l’objectif est d’augmenter la couverture vaccinale dans le monde. (9)
le projet ID2020 par le biais de Microsoft et dont le but est de doter tous les citoyens du monde d’une identité numérique. (10)

Le projet de traité pour les pandémies donnerait à l’OMS le pouvoir de coordonner ces différents objectifs. Mais ce sont les objectifs de Bill Gates et non ceux des États ou des citoyens ! Notez, par ailleurs, que la Fondation Bill et Melinda Gates est, quant à elle, financée par les actions qu’elle détient dans l’industrie pharmaceutique. Cela représente tout de même un dangereux conflit d’intérêt. Sa dotation de départ est venue de la fortune personnelle de Bill Gates et de la participation d’autres milliardaires comme Warren Buffet. (11) Bill Gates a un projet pour l’humanité. À travers Microsoft, sa Fondation, le projet GAVI, le projet ID2020 et l’OMS, il cherche à façonner le monde selon ses vues. Les États, par faiblesse ou par intérêt, le laissent faire. Jusqu’à présent, cette situation, largement ignorée du grand public, a permis à la Fondation Gates d’avoir un pouvoir d’influence sur les politiques de santé mondiales. Avec le nouveau traité, cela va plus loin. Bill Gates et ceux qui pensent comme lui, disposeront grâce à l’OMS et au nouveau traité sur les pandémies, d’un levier beaucoup plus puissant pour imposer leur agenda.

Agir avant le 24 mai 2024 !

Les États vont se prononcer sur le traité contre les pandémies lors de l’Assemblée générale de l’OMS qui se déroulera le 24 mai 2024. (1)
La seule manière de résister à cette tentative feutrée de putsch international est de refuser de devenir signataire de ce traité.
Ni la France, ni l’Union européenne ne doivent voter ce texte. La plupart des responsables politiques en France et en Europe ne prennent pas la mesure de ce qui est en train de se passer. On assiste à une forme inquiétante de privatisation du pouvoir.
D’ici à peine quelques mois, l’OMS pourrait décider à peu près seule du type de traitements que vous devrez vous faire administrer.
Et pour l’instant, personne ne semble s’opposer à cette dangereuse évolution.
Les médias sont silencieux.
Les responsables politiques sont aveugles.
Et vous ?
Allez-vous passer ce message à vos amis ?
Allez-vous vous préparer à dire NON au monde de demain ?
Serez-vous prêts ?

Affaire à suivre…

Jérôme

Références:

(1) https://www.youtube.com/watch?v=kCoFLhDKlA4
(2) https://www.youtube.com/watch?v=_lyeO9IqJzc
(3) https://www.who.int/health-topics/international-health-regulations#tab=tab_1
(4) https://www.who.int/news-room/questions-and-answers/item/pandemic-prevention–preparedness-and-response-accord
(5) https://www.euronews.com/green/2023/09/01/plant-based-meat-is-the-future-billionaire-bill-gates-claims-what-has-to-change
(6) https://zenko.substack.com/p/-bill-gates-simple-formula-to-solve
(7) https://www.gavi.org/fr/notre-alliance/a-propos
(8) https://www.euronews.com/next/2023/02/03/how-is-the-world-health-organization-funded-and-why-does-it-rely-so-much-on-bill-gates
(9) https://www.gavi.org/investing-gavi/funding/donor-profiles/bill-melinda-gates-foundation
(10) https://www.id2020.org/

Mail contenant également cette vidéo. Et celle-ci.

Voici également une autre vidéo, plus récente (janvier 2024), malheureusement en anglais, qui alerte tout comme l’article ci-avant sur ce qui est en train de se passer ! Cliquez ici.

Et l’article de la LNPLV paru en février 2024 : cliquez ici.

Et enfin, le document à télécharger, compléter et envoyer à vos députés et sénateurs :

le Parlement européen adopte un projet de révision des traités !

Et pas n’importe quelle révision !! Vous allez voir. Article publié le 24/11/2023 sur lesobservateurs.ch

Il est très long, très sourcé, très détaillé, donc je ne le reproduis pas ici dans son intégralité, je vous mets juste leur résumé ci-dessous. Pour voir l’article entier sur leur site, cliquez ici.

  • La prise de décision à l’unanimité des États membres (Conseil européen) devient l’exception, le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle
  • On ne parle plus d’égalité entre les hommes et les femmes mais entre les “genres”
    • Les États ne devront plus assurer l’égalité des rémunérations entre travailleurs “masculins et féminins” mais entre “tous les travailleurs, sans distinction de genre“. Il n’y a plus de discriminations fondées “sur le sexe” mais des discriminations fondées “sur le genre”
    • On ne parlera plus de “sexe sous-représenté” mais de “genres sous-représentés dans toute leur diversité”
  • Le personnel de l’administration européenne devra refléter “l’égalité de genre et la diversité de la société” (discrimination positive)
  • Création d’une fonction de “Président de l’Union européenne” en remplacement des président du Conseil européen et de la Commission qui est elle-même remplacée par un “exécutif”
  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée
  • Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE ⇒ constitution d’une véritable armée de l’UE
  • Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un État membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses États membres
  • L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation
  • Compétence exclusive de l’UE au détriment des États membres pour conclure et négocier les accords internationaux sur le changement climatique
  • L’UE aura dorénavant une compétence partagée avec les États membres sur les questions de santé publique, “l’accès universel et complet à la santé” et les “droits sexuels et génésiques”. (Cela signifie que les États membres ne pourront agir que si l’UE a décidé de ne pas le faire ou qu’elle n’a pas encore proposé de législation)
  • Il en est de même pour :
    • la politique des frontières extérieures
    • les affaires étrangères
    • la sécurité extérieure
    • la défense
    • la protection civile
    • l’industrie
    • l’éducation
  • La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des États membres et répondre aux besoins de mains d’œuvre du marché unique
  • L’UE ne pourra définir que les conditions “minimales” d’entrée et de séjour ainsi que les normes “minimales” de délivrance de visas et titres de séjour de longue durée
  • L’UE sera dorénavant compétente pour définir les règles minimales relatives à la définition des infractions pénales et des sanctions dans les domaines de la “violence fondée sur le genre” et “la criminalité environnementale
  • L’UE pourra compléter l’action des États membres dans la lutte contre la pauvreté et le “soutien au logement social”
  • Création d’un “État d’urgence” européen : Le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif)
  • Instauration d’un droit fondamental à “l’autonomie corporelle” et à un “accès universel à la santé” “sans discrimination”

Articles qui complètent celui-ci, pour une meilleure vue d’ensemble :

Car oui, tout ceci est lié :

La police de la pensée en France dès maintenant.

L’éradication de toutes les médecines douces, mêmes exercées par les médecins, en les assimilant systématiquement à des sectes (non, ce n’est pas une blague, plus c’est gros plus ça passe visiblement).

Ajoutez à cela les retraites et on est cuits !