Maïté Molla Petot

Praticienne pour humains et animaux
Formatrice - Auteure

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La bonne alimentation

Se soigner naturellement sans s’éloigner des principales sources d’intoxication et de perturbation donnera des résultats bien en-dessous de ce que la nature peut normalement fournir. Logique ! C’est pourquoi nous avons jugé utile de vous apporter quelques conseils sur votre alimentation car s’il y a bien une chose que les gens ne savent plus faire à notre époque c’est s’alimenter et cuisiner correctement.

De plus, il n’est pas toujours facile, quand on cherche à bien manger, de s’y retrouver dans tous les régimes proposés : végétarien, végétalien, méditerranéen, macrobiotique, dissocié, en fonction des groupes sanguins, cru, méthode ceci, méthode cela… On a tout inventé et son contraire, ou presque !

Selon nous, le bon sens est surtout d’adopter une alimentation NON TOXIQUE. Ce simple conseil peut ensuite s’accorder à n’importe quel régime que vous auriez trouvé efficace pour améliorer votre santé. Si, par exemple, vous voulez manger en fonction de votre groupe sanguin mais que les viandes que vous mangez sont issues de l’élevage intensif et que vous choisissez des céréales raffinées, votre régime ne changera rien à votre vie ou en tout cas pas grand chose comparé à ce que ça aurait pu donner si vous aviez choisi vos produits intelligemment !

Ce qu’il vous faut donc apprendre, c’est à traquer les poisons. Et, malheureusement, l’alimentation et les cuisines modernes en regorgent… De nombreuses études et livres expliquent en détail le « pourquoi » et le « comment ça fonctionne » des conseils ci-après, nous ne détaillerons donc pas toutes ces informations. Nous ne vous apporterons pas (ou peu) de « preuves ». Nous vous invitons à vous reporter à de bons ouvrages si vous souhaiter développer un point précis.

Conservez également à l’esprit que les conseils ci-dessous sont des généralités qui peuvent s’adapter en fonction de la vie de chacun. Nous ne vous invitons pas à devenir extrémistes et tristes ! Faites au mieux, vous n’êtes pas obligé de tout respecter à la lettre. C’est à voir au cas par cas.

  • Cuisinez dans de l’acier inoxydable ou chirurgical, dans du verre, ou dans du cuivre pour certaines recettes, jamais dans de l’aluminium ou du téflon. Évitez les poêles recouvertes de céramique car selon les marques on ne sait pas exactement ce que contient la céramique. En revanche, les plats entièrement en céramique ou des plats traditionnels en diverses terres cuites sont bons (sauf si vraiment pas chers, arrivés de chine, etc. Méfiez-vous toujours du matériel peu coûteux mais ne croyez pas non plus, à l’inverse, qu’un prix exorbitant soit garant d’un plat sain ; on trouve du très bon matériel à prix raisonnable). Le matériel en fonte de nos grands-parents et arrière-grands-parents ne nuit pas à la santé, sauf s’il s’agit de fonte d’aluminium bien sûr.
  • Et cuisinez sur un gaz ou une plaque électrique, jamais avec une plaque à induction. La plaque vitrocéramique n’est pas mauvaise à la santé, ce n’est qu’une plaque électrique avec un revêtement et un look plus modernes. La plaque à induction, elle, génère un champ électromagnétique très néfaste. Il faudrait s’éloigner d’elle d’au moins un mètre ou un mètre cinquante quand on cuisine, ce qui n’est pas possible évidemment. Et toute personne équipée d’un pacemaker datant d’avant 2010 (d’une pile, si vous préférez ; stimulateur cardiaque) ne devrait jamais s’approcher d’une plaque à induction en marche.
  • Les fours traditionnels sont bons. En revanche, les fours à micro-ondes sont à bannir totalement, il n’y a aucune exception. Ils dénaturent et rendent toxiques les aliments et en plus ils ne sont pas étanches contrairement à ce qu’on veut nous faire croire donc dès qu’ils fonctionnent toute la pièce et ses occupants sont irradiés ! Dans le même ordre d’idée éteignez votre portable le plus possible, ne vous servez jamais du wifi ou de périphériques sans fil, etc.
  • Arrêtez tous les plats préparés, industriels, même s’ils sont bios (car ils peuvent quand même contenir des graisses hydrogénées par exemple, dans les biscuits notamment mais pas seulement), et cuisinez vous-même car il est impossible lorsqu’on ne cuisine pas d’échapper aux produits toxiques que les industriels font exprès de mettre dans leurs préparations (une population bourrée de sel blanc a soif donc elle consomme plus d’eau, une population malade consomme plus de médicaments, etc. Ils s’entendent entre eux !). Les « additifs alimentaires », comme on les appelle, sont responsables de graves troubles du comportement comme l’hyperactivité, la violence, les colères inexplicables, les TOCs, etc. Pour voir un enfant hyperactif changer du jour au lendemain (nous n’exagérons pas, le changement est extraordinairement rapide dans la plupart des cas), il suffit non pas de le mettre sous médicaments mais de stopper totalement la nourriture industrielle et de revenir à du fait-maison à partir d’ingrédients de qualité sans rien ajouter de déjà prêt (même pas une sauce ou une mayonnaise par exemple).
  • Stoppez aussi totalement la consommation de sucre raffiné (bonbons, pâtisseries, boissons sucrées, etc). Le sucre roux des grandes surfaces ne vaut pas mieux car c’est du sucre blanc chauffé pour changer sa couleur. Le mieux est de consommer du sucre blond (magasins bios) ou des sucres « intégraux » comme nous le disons un peu plus loin. Et ne vous dites pas qu’avec les boissons et plats allégés (light) ce sera mieux, les substances qu’ils contiennent sont encore plus dangereuses ! Quant à l’aspartame c’est un neurotoxique puissant qui donne au minimum des maux de tête et au pire de l’épilepsie ou des troubles de type autistique ou schizophrénique. Les produits allégés ainsi que les « sucrettes » que l’on conseille aux diabétiques sont donc à mettre à la poubelle en URGENCE ! N’utilisez pour sucrer que du miel, du sirop d’agave, de la stévia ou du sucre intégral (rapadura et muscovado/mascobado notamment) que vous trouverez dans certains magasins de produits biologiques ou de commerce équitable. Et sucrez avec modération car même si un sucre intégral apporte beaucoup de minéraux (et éloigne les caries et les faiblesses osseuses comme l’ostéoporose alors que le sucre raffiné les favorise), tout est question de juste équilibre dans la vie ! Tout ceci implique, comme vous l’aurez compris, de faire vos gâteaux et pâtisseries vous-même.
  • Remplacez le sel blanc par du sel marin non raffiné (gris). Si besoin, reportez-vous à « Formidables chlorures pour humains et animaux » aux éditions Bussière.
  • N’utilisez que des huiles végétales vierges issues d’une première pression à froid ou à la rigueur du beurre au lait cru, mais jamais des margarines. Épluchez bien la liste des ingrédients si vous achetez des plats préparés pour bannir ceux qui contiennent des graisses hydrogénées, de l’huile de palme, de tournesol ou de coprah (noix de coco). Ne chauffez jamais l’huile de lin car elle deviendrait toxique ! Et, par conséquent, n’achetez pas de plat tout prêt qui en contient car cela signifie qu’elle a été cuite.
  • Remplacez les farines raffinées (blanches) par des farines complètes : pain complet, pâtes complètes, riz complet, biscuits à la farine complète de blé, de sarrasin, d’épeautre, de quinoa ou de ce que vous voulez pourvu que ce ne soit pas raffiné ! Achetez-les « bios » car les pesticides se trouvent malheureusement en plus grande quantité dans les produits complets, ce qui est logique : une partie des pesticides part lors du raffinage, avec les vitamines et minéraux bons à la santé…Donc les farines raffinées vous empoisonnent et vous déminéralise d’une façon et les farines complètes non-biologiques d’une autre. La seule solution est donc le complet ET bio. Même si vous n’achetez pas bio pour d’autres aliments, dans le cas des farines vous n’avez pas le choix !
  • Ne consommez pas (ou limitez énormément votre consommation) de charcuterie, même pas du bio car les fabricants sont « obligés » pour donner une couleur attractive de traiter par différents produits mauvais à la santé. Peu de gens le savent mais le jambon blanc par exemple, qu’il soit bio ou pas, ne devrait absolument pas avoir la couleur qu’on lui connaît. Il reçoit de fortes doses de nitrites avant d’être vendu ! Cela dit, si vous n’arrivez pas à vous passer de charcuterie, n’en consommez pas plus de 80 g par semaine (en théorie c’est ok niveau tolérance digestive et évitement des risques).
  • Limitez la consommation de viande et poisson à 3 ou 4 repas par semaine. Un autre problème est qu’il est quasiment impossible d’avoir du poisson sain à notre époque : l’eau est polluée et les poissons d’élevage sont bourrés de médicaments ! Comme tous les animaux d’élevage intensif d’ailleurs. Parmi les substances les plus courantes on retrouve les plastiques, les hormones, les antibiotiques, les anti-dépresseurs et assimilés (non, vous ne rêvez pas, vous avez bien lu) et les métaux lourds (à cause de la contamination de l’eau des mers et océans en ce qui concerne les poissons, et à cause des vaccins en ce qui concerne les autres animaux). Il est donc préférable de rayer le poisson de nos menus, mais il faut pour ne pas manquer d’iode manger du sel marin non raffiné, des œufs, du beurre cru, certains fruits et légumes frais (céleri, épinards, chou, cresson, oignon, ail, navet, radis, rutabaga, brocoli, ananas…), des algues (poudre de Kelp ou autre). Éventuellement avoir recours à de la teinture d’iode (voir ici http://maitemollapetot.com/blog/des-cures-qui-pourraient-vous-sauver-la-vie/). Si vous ne pouvez pas vous passer de poissons, privilégiez les petits car ils sont moins chargés en toxines que les gros et ils sont riches en epa/dha (acies gras oméga 3). Pour la viande, ne consommez que celle issue de la chasse ou de petits élevages familiaux où vous pouvez aller faire directement vos courses (et assurez-vous que les animaux sont nourris d’une manière naturelle et ne reçoivent de médicaments qu’en cas de nécessité !).
  • La viande et autres aliments grillés sont très toxiques, donc ne faites pas barbecue sur barbecue… Mais surtout enlevez la partie noircie avant de manger.
  • Mangez autant d’œufs que vous voulez mais dans l’idéal il faut que le blanc soit bien cuit mais que le jaune reste liquide. Le blanc cru n’est pas digeste pour les humains et le jaune cuit perd la plupart de ses vitamines et minéraux intéressants. Ne vous en faites pas si vous avez du cholestérol : les œufs n’ont pas d’impact sur son taux normalement contrairement à ce qu’on essaye de vous faire ingurgiter. Et de toute façon le cholestérol n’est pas responsable des accidents cardiaques et vasculaires (voyez notamment les livres du Dr Michel de Lorgeril) donc il ne sert à rien de le surveiller et d’essayer de le faire diminuer que ce soit par des compléments alimentaires ou, pire, par des médicaments ! Les études qui prétendent le contraire sont truquées et les autorités évitent évidemment de répandre les études qui prouvent que le cholestérol est innocent car sinon l’industrie pharmaceutique perdrait plusieurs milliards (oui, vous avez bien lu « milliards ») en une seule année. La seule chose qui prévient les accidents cardiaques ou vasculaires est l’alimentation hypo-toxique, celle dont nous vous parlons actuellement dans ces pages : un menu méditerranéen ou proche, mais « intelligent » en plus c’est-à-dire faisant la chasse aux poisons. Privilégiez les œufs qui comportent le chiffre « 0 »  ou « 1 » en premier caractère écrit sur leur coquille (tout premier signe au début de la première ligne). « 2 » et « 3 » veut dire élevage en batterie.
  • Mangez des légumes à tous les repas et des fruits plutôt ENTRE les repas. Et préférez-les bios le plus possible. Il y a longtemps qu’on a prouvé qu’en plus de renfermer énormément moins de polluants, les fruits et légumes bios contiennent beaucoup plus de nutriments que leurs homologues non-bios. Les fruits et légumes non-bios ne vous apportent presque rien, ce ne sont que des coquilles vides bourrées d’eau et de pesticides. Vous ne pouvez pas faire le plein de minéraux et vitamines avec des aliments non-bios. Par ailleurs, stoppez la croyance qu’on ne pourrait pas nourrir toute la planète avec du bio (voir notamment de nombreuses études rapportées dans les livres de Kokopelli). C’est totalement faux. Ce qui fait qu’on risque de manquer de nourriture ce sont les élevages d’animaux car ils « prennent » les champs que nous pourrions cultiver pour nous. Nous sommes obligés de les cultiver pour eux, tout cela parce que les occidentaux s’imaginent qu’il faut de la viande à tous les repas. Sans compter la place que requière l’élevage, même intensif : même en empilant littéralement les animaux les uns sur les autres, cela demande beaucoup d’espace. Dans certaines régions du monde on abat des milliers d’hectares de forêt pour pouvoir ensuite parquer des bœufs ! Si, demain, les habitants de la Chine et de l’Inde se mettent à vouloir manger autant de viande que nous en consommons dans nos pays « civilisés », alors là oui, nous n’aurons plus de quoi nourrir toute la planète. Ce ne sera absolument pas à cause d’un défaut de rendement du bio ! Mais peut-être que les autorités essayeront de vous faire croire le contraire…
  • Arrêtez le lait de vache, c’est un des pires poisons du siècle (*voir à la fin de nos conseils, un article paru récemment). De plus, il n’apporte pas de calcium contrairement à ce qu’on tente de nous faire croire car son calcium n’est pas biodisponible pour un organisme humain, adulte de surcroît (certaines études prétendent que le lait a un CUD de 30 à 35 %. Le tofu ou d’autres produits végétaux enrichis en calcium (donc transformés) auraient quant à eux un cud plus haut, mais en général le calcium végétal aurait un cud plus faible ; mais ne vous laissez pas faire ; mais ne vous laissez pas laver le cerveau par ce genre de raisonnements car la toxicité du lait ne se mesure pas en cud, et même si en théorie le calcium est en partie absorbé, on voit bien qu’au final les os sont fragilisés et non pas renforcés, cf l’article en fin de dossier). Donc le lait de vache doit être écarté au maximum de vos menus et vous ne manquerez absolument pas de calcium si votre alimentation est équilibrée en légumes, œufs et céréales complètes ! Ne consommez pas de produits laitiers à chaque repas, ne le faites que quelques fois par semaine. Et mangez plutôt des produits à base de lait de brebis ou de chèvre. De plus, tous les produits laitiers que vous consommez doivent être préférentiellement à base de lait CRU ou à la rigueur pasteurisé. Le lait UHT est tellement toxique qu’on pourrait faire un procès aux industries qui vendent ça ! Cela vient du lait lui-même : chauffé à trop hautes températures, sa composition change et de nombreuses molécules toxiques apparaissent. Qu’il soit bio ou non n’y change rien, le lait chauffé à hautes températures est un poison. Donc, en résumé, remplacez le lait du petit déjeuner par des laits végétaux comme le lait de riz, d’avoine, de noisette, d’amande ou de châtaigne. Ne consommez, en quantité raisonnable, que des produits laitiers faits avec du lait cru (rappel : le beurre vient du lait donc achetez-le aussi cru ou à la rigueur pasteurisé, mais jamais avec du lait UHT), et préférentiellement des produits à base de chèvre ou de brebis, pas de vache. Attention, certains laits végétaux sont UHT aussi et ne doivent donc pas être achetés (les non-UHT se trouvent plus facilement en magasins bios). A savoir également : certains spécialistes ne sont pas pour remplacer les produits laitiers par des « laits » végétaux à cause aussi des processus de transformation. Dans ce cas, ils conseillent de manger des fruits oléagineux entiers, qui n’auront subit que très peu de modifications. De toute façon, il ne s’agit encore une fois que de généralités. Vous pouvez déterminer ce qui est bon pour VOUS grâce à des techniques comme le test de résistance musculaire, le pendule ou les baguettes parallèles (= de sourcier).
  • Le vin doit être bio le plus possible car le raisin est l’un des fruits les plus traités chimiquement en France et on rajoute encore des produits chimiques dans le jus après pour faire un « bon » vin. Évidemment, pas trop d’alcool, il faut que le vin reste occasionnel !
  • Bannir totalement le café en dosettes car il est bourré d’aluminium et d’autres produits chimiques. C’est une source de plus en plus importante d’intoxication à notre époque. Revenez à une cafetière électrique traditionnelle ! Pour les infusions et le thé, les acheter en magasins bios, herboristeries ou pharmacie, pas en grande surface sinon ils contiennent des additifs même si ce n’est pas marqué sur l’étiquette !
  • N’achetez aucun aliment en boîte. En bocal de verre oui, mais jamais en boîte de conserve.
  • Quoi que vous mangiez, mâchez bien ! Globalement nous ne mâchons pas assez. Il faut mastiquer jusqu’à ce que les solides soient liquides, ce qui correspond à mâcher environ 30 fois chaque bouchée ! Et il faut faire tourner les boissons en bouche pour les imprégner elles aussi de salive.
  • Fumez le moins possible ou, au pire, cultiver votre propre tabac (ou achetez du tabac sans additifs). Vous trouverez de bonnes vidéos sur le net qui vous expliquerons dans le détail comment cultiver et préparer un bon tabac bio fait-maison.
  • Ne mangez pas dans les fast-foods (restauration rapide). On n’y sert que des produits toxiques déguisés en aliments mais jamais de vrais aliments malheureusement.
  • Ne mâchez pas de chewing-gum, qu’il contienne du sucre ou non, car mâcher ainsi sans rien avoir à digérer épuise le Ch’i (énergie vitale). Et dans la très grande majorité des cas les chewing-gums sont eux aussi remplis de produits très toxiques. De toute façon, comme on vous l’a dit, bannissez toute friandise du commerce. Quand aux chewing-gums qui prennent soi-disant soin de vos dents c’est une arnaque, juste un moyen de faire passer la friandise-poison pour quelque chose de sain et ainsi continuer de vendre.
  • Ne prenez JAMAIS de fluor ! C’est un toxique très puissant (aussi mortel que l’aspartame entre autres) que les autorités mettent jusque dans l’eau du robinet pour nous rendre malades et nous affaiblir (nous rendre dociles). Ceci implique donc de ne jamais prendre de complément au fluor pour vos dents, de n’utiliser que des dentifrices bios sans fluor (en magasins spécialisés ou sur internet) et de ne surtout pas acheter de sel de table additionné de fluor. Le fluor ne protège absolument pas des caries, c’est un mythe ! Les caries surviennent quand le système immunitaire est affaibli et que le corps souffre d’une déminéralisation généralisée (à cause de tous les polluants qu’on lui fait ingurgiter justement). Si vous mangez sainement en suivant nos conseils, que vous ne prenez pas d’antibiotiques à gogo, pas de vaccins et pas de contraception chimique en ce qui concerne les femmes, que vous vous soignez le plus naturellement possible et que vous faites tout pour ne jamais dépasser un certain seuil de stress vous arrêtez alors la déminéralisation et vous enclenchez la reminéralisation globale qui vous aidera à guérir. Dans les années 90 déjà, le Docteur Alain Scohy mettait en garde les populations : « Le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l’ossature, favorisant des microfractures au niveau du squelette. Il agit lentement et en profondeur et favorise ainsi les scolioses, les cyphoses, l’hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de l’organisme. » Et le Dr Bernard Montain de renchérir en 2007 dans son livre « Fluor, une erreur majeure » : « Le fluor est un sujet d’une importance extrême. Plus de 800 millions de personnes dans le monde – en dehors des pays anglo-saxons où les scientifiques ont déjà mis en évidence ses nombreuses contre-indications – consomment du fluor sous toutes ses formes. […] Le danger majeur pour l’enfant, comme pour l’adulte, se nomme « fluorose dentaire » qui comprend 4 stades de dégradation. Les problèmes dentaires peuvent se poursuivre par des complications sur le plan du squelette (ostéoporose), des retards de croissance et des altérations rénales et surtout mentales. » Par ailleurs, vous apprendrez que la salive contient naturellement du fluor (mais en très petite quantité, juste ce qu’il faut pour respecter les subtils équilibres chimiques du corps, donc ce fluor là n’est pas mauvais. Alors bannissez totalement le fluor de votre vie immédiatement. Ne terminez même pas vos tubes de dentifrice entamés ! A savoir également : si nous avions une hygiène alimentaire correcte, nous n’aurions normalement même pas besoin d’utiliser du dentifrice ! Un brossage mécanique suffirait.
  • Achetez du matériel pour filtrer l’eau de votre robinet et ainsi pouvoir la boire (sans fluor et autres polluants). https://www.aqua-techniques.fr. Évitez l’eau en bouteille plastique car elle contient des résidus de plastique.
  • Variez un maximum votre alimentation et vous faire PLAISIR. Premièrement, vous pouvez vous faire plaisir même en respectant scrupuleusement ces conseils. Vous verrez que remplacer les poisons par de vrais aliments n’enlève rien à la diversité de vos plats. Deuxièmement, il est évidemment permis de faire des exceptions. Quand vous êtes invité, si vous mangez pendant juste un repas un fromage que vous appréciez énormément mais qui n’est pas au lait cru, votre corps saura le gérer. Ne soyez pas « extrémiste », ne soyez pas rabat-joie, simplement trouvez le juste milieu entre santé et exceptions qui font du bien au moral et n’enlèvent rien à la santé (puisqu’il ne s’agit que d’exceptions justement).
  • Les animaux doivent aussi être nourris naturellement. Pour les chiens vous pouvez lire « Je nourris mon chien naturellement le guide du BARF » de Swanie Simon ; pour les chats « Je nourris mon chat naturellement le guide du BARF » de Margitta Graeve. Et si vous voulez des preuves, si vous avez besoin d’être convaincu que les croquettes et les boîtes sont très dangereuses (même celles vendues par les vétérinaires), lisez « Toxic croquettes » du Dr vétérinaire Jutta Ziegler.

Ces conseils sont à suivre pour tous mais surtout pour ceux qui souffrent de ou qui veulent éviter les pathologies suivantes : cancer, scléroses diverses, fibromyalgie, obésité ou au contraire perte de poids anormale, diabète qu’il soit insulino-dépendant ou pas, troubles du comportement divers, troubles cardio-vasculaires, arthrose, ostéoporose et maladies proches (troubles en lien bien souvent avec une déminéralisation générale du corps), hernies discales et spasmophilie (bien que n’ayant rien à voir apparemment entre elles, ce sont elles aussi des pathologies de déminéralisation), acné et autres problèmes de peau, maladies auto-immunes, maladies découlant d’un foie abimé ou fatigué pour une raison ou une autre, problèmes intestinaux, alzheimer, parkinson, toute dégénérescence, troubles divers de la mémoire et de la concentration, infections à répétition, migraines et maux de tête…

Changer ses habitudes alimentaires peut prendre du temps, c’est vrai. Mais pas plus de quelques heures les premiers mois. Après, vous connaissez vos produits et votre façon de cuisiner, tout devient automatique, comme bien des choses dans la vie et au final vous ne « perdez » plus de temps par rapport à votre vie avant le changement. La question qu’il faut aussi vous poser est : « est-ce que c’est vraiment une « perte » de temps ? Courir chez les médecins et stresser dès qu’on est malade, ça c’est une perte de temps, d’argent, d’énergie, de bonheur… Le temps est nécessaire à chaque chose qui a de la valeur dans la vie. Alors arrêtez de penser au temps, vivez et puis c’est tout ! Faites ces changements car ils doivent être faits si l’humanité veut survivre à la période de manipulation et de dictature qu’elle traverse en ce moment. Le temps et l’argent ne sont, dans la majorité des cas, que des excuses que servent les esclaves qui ont appris à aimer leurs chaînes pour ne pas sortir de leur zone de confort.

Tous droits réservés Maïté Molla-Petot et Quentin Lucchi

*[produits laitiers] Voici à titre d’exemple un article que j’ai recopié intégralement, paru dans un quotidien vosgien, et que mon acupuncteur a affiché dans sa salle d’attente (titre : « Trop de lait tue ») : « ‘’Les produits laitiers sont nos amis pour la vie.’’ L’industrie laitière va devoir modérer son enthousiasme. Une récente étude vient de torpiller son discours publicitaire sur les effets magiques du lait sur la santé chez les adultes. Pendant vingt ans, les chercheurs de l’université de médecine d’Uppsala, en Suède, ont suivi 106 772 Suédois de 39 à 79 ans amateurs de lait. Leurs résultats, publiés dans la grande revue médicale le ‘’British Medical Journal’’, laissent pantois. Plus on boit de lait, plus le risque de mortalité grimpe ! Les scientifiques ont ainsi découvert que les femmes qui buvaient quotidiennement trois verres de lait ou plus affichaient un taux de mortalité 90 % plus élevé que celles qui ne dépassaient jamais un verre par jour. Pour expliquer cette ‘’hécatombe’’, les auteurs de l’étude pointent du doigt le lactose. Ce glucide, présent dans le lait de vache, se transforme dans l’intestin en D-galactose, un sous-produit dont des expériences menées chez la souris ont montré qu’il avait une fâcheuse tendance à accentuer l’inflammation des tissus et à accélérer le vieillissement des cellules. Deux phénomènes qui favorisent chez l’homme les cancers et les maladies cardio-vasculaires. Les soupçons sur le galactose sont d’autant plus forts que le fait de mettre au menu des yaourts, du fromage ou du lait fermenté, dépourvus, eux, de ladite substance, n’a aucun impact sur le taux de mortalité. Autre chose : depuis des années, l’industrie laitière en fait des litres sur le thème : boire du lait, c’est bon contre l’ostéoporose grâce au calcium qui fortifie les os. Or, d’après les travaux des médecins suédois, non seulement s’abreuver de lait n’améliore pas d’un iota la densité osseuse des femmes ménopausées, mais cela accroît le risque de fractures… A partir de trois verres de lait par jour, la probabilité de se fracturer la hanche monte à 60 % ! Sans que l’on comprenne d’ailleurs vraiment pourquoi, les pays où l’on est le plus accro au lait affichent les plus hauts taux d’ostéoporose et de fractures qui vont avec. En conclusion, les chercheurs suggèrent de modifier fissa les recommandations des autorités sanitaires visant à faire boire du lait aux adultes. Ça s’arrose, hips ! »