Maïté Molla Petot

Praticienne pour humains et animaux
Formatrice - Auteure

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Consultations sur rdv
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La Chloroquine – Quand une plante sauve des vies

Avez-vous entendu parler du Quinquina ?

Si non, il est temps de faire connaissance avec cet arbre car c’est de lui qu’est issue la fameuse chloroquine ou chloroquinine dont on parle tellement en ce moment !

Cinchona pubescens, Cinchona ledgeriana et Cinchona calisaya sont les Quinquinas desquels ont été extraites les quinines. Maintenant, on peut synthétiser directement les quinines (chloroquine, proguanil, méfloquine) en laboratoire pour laisser les Quinquinas tranquilles (l’espèce a failli disparaitre tellement la demande était importante), même si une partie des antipaludéens mondiaux vient encore des extraits d’arbres.

Ce fut longtemps le seul remède contre le paludisme, maladie grave qui sévit dans les zones tropicales de notre planète. L’écorce sèche de quinquina ou celle de ses variétés et de ses hybrides ainsi que l’extrait fluide titré de quinquina disposent d’une monographie de contrôle à la pharmacopée européenne. Autrement dit : on connait très bien les quinines, leur dosage, leur emploi, etc !

On estime qu’un milliard d’êtres humains a été traité avec des quinines. Certains font des allergies mais c’est très rare (plus rare que les allergies aux antibiotiques). C’est guère le seul problème que l’on rencontre avec cette catégorie de molécules. Les effets secondaires sont très rares. On peut, au pire, faire une intoxication mais pour cela il faudrait vider des boîtes entières ! Il faut vraiment le vouloir. Si vous tentez l’expérience, il est peu probable que vous mourriez directement d’intoxication, mais vous finirez en revanche aux urgences à cause d’une forte diarrhée et de vomissements.

C’est pourquoi il est totalement anormal que la chloroquine ait été classée à l’automne dernier dans la catégorie des substances vénéneuses ! C’est absolument aberrant. Cette information combinée au fait que notre gouvernement n’a accepté de parler de la chloroquine dans la lutte contre le covid-19 que sous la pression de la mobilisation des français ne peuvent que nous pousser à nous interroger : pourquoi l’industrie pharmaceutique et certains gouvernements ont visiblement tout fait pour évincer une molécule capable de sauver des vies ? En général, quand ils font cela, c’est qu’ils veulent vendre un nouveau médicament plus coûteux (molécules brevetées) ou un nouveau vaccin sans se soucier d’efficacité pour sauver des vies, seulement de s’en mettre toujours plus plein les poches.

La chloroquine ne coûte que quelques centimes le cachet. Ce n’est donc pas assez intéressant pour les labos (et pour les membres du gouvernement qui sont liés à eux, parfois par des investissements ou des intérêts financiers directs). Ça ne leur rapporte pas assez !

En attendant que ces gens inhumains disparaissent des sphères du pouvoir d’une manière ou d’une autre, ceux qui ont appris le chamanisme avec moi ne manqueront pas de remercier l’Esprit du Quinquina. Je vous rappelle que nous n’avons pas seulement des animaux totems. Nous avons également des végétaux totems. Puisse le totem du Quinquina vous donner force et vigueur ! Il peut d’ailleurs le faire concrètement au moyen de l’homéopathie : China rubra 5 à 9 CH est un remède faisant baisser la fièvre et redonnant des forces en cas de fatigue. Si vous êtes malade et que Gelsemium semble ne pas marcher pour vous, essayez China rubra (pour le mode d’emploi vous reporter à ma newsletter précédente).

[ Ne substituez aucun conseil de cet article à un avis médical. N’interrompez pas et ne modifiez pas de traitement médical sans l’avis d’un médecin (ou d’un vétérinaire, pour les animaux). En cas d’apparition d’une réaction gênante ou d’aggravation d’un symptôme préexistant il convient d’arrêter immédiatement l’emploi du produit suspecté et d’aller consulter un médecin ou un vétérinaire. ]