Maïté Molla Petot

Praticienne pour humains et animaux
Formatrice - Auteure

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186 impasse malfosse, 88420 Moyenmoutier
Consultations sur rdv
mardi, jeudi et vendredi de 10h à 12h, et de 14h à 18h
Et samedi de 10h à 15h

Harmonisation globale pour humains et animaux

Harmonisation, vous avez dit harmonisation ?

Connaissez-vous l’harmonisation globale ? Il s’agit, selon sa créatrice le Dr Thérèse Quillé, d’une « pratique très simple qui permet de restaurer l’Harmonie en soi et avec son environnement ».

L’harmonisation globale fait partie de ces méthodes qui permettent de soulager la cause d’un problème quel qu’il soit au lieu de masquer des symptômes comme le fait la médecine allopathique (par médicaments). Prendre un antidépresseur ne vous soignera jamais d’une dépression, prendre un antibiotique n’aidera pas votre corps à se défendre contre la prochaine infection même si vous guérissez de la première, etc.

Trouver la cause et rééquilibrer ce qui doit l’être est le fondement de toute démarche de soin globale et efficace, « holistique » comme on dit à notre époque.

Grâce à l’harmonisation globale vous pouvez soigner définitivement une allergie par exemple. Vous pensez peut-être cela impossible mais c’est vrai. Pour votre instruction, sachez que d’autres thérapies que l’harmonisation globale y parviennent également : la méthode NAET notamment (voir le site naet-europe.com et les livres du Dr Nambudripad), mais il existe très peu de praticiens en France et sa mise en œuvre est beaucoup plus compliquée que l’harmonisation globale.

Grâce à l’harmonisation globale, vous pouvez traiter des troubles mentaux ou émotionnels divers : angoisse, dépression, troubles de l’attention, culpabilité, colère, tristesse, jalousie, perte de mémoire, etc. Tout ce qui vous gâche la vie.

Grâce à l’HG, vous pouvez aussi venir à bout de troubles du corps physiques comme certaines douleurs par exemple.

Et on peut traiter les animaux et les plantes également !

La pratique sur les humains.

Pratiquer l’harmonisation globale ne demande pas de connaissances scientifiques ou psychologiques préalables. Mais il est vrai que détenir quelques connaissances sur le corps physique ou sur le fonctionnement psychologique de l’Homme ou de l’animal peut aider à comprendre certains phénomènes et orienter la recherche d’une cause par exemple. Les seules obligations pour mener une séance d’harmonisation globale sont donc d’être deux (un « patient » et un praticien) et d’être volontaire. On n’impose pas un soin, c’est à la personne de faire la demande d’être traitée.

Ce qu’il est capital de noter pour bien comprendre l’harmonisation globale, c’est que ce n’est jamais le praticien qui soigne le patient ! Le praticien ne fait qu’aider la personne en demande à évacuer ses troubles, à se réguler elle-même grâce à l’énergie universelle. Le thérapeute n’est pas investi d’un quelconque pouvoir et n’a pas « reçu de don » ! C’est d’ailleurs pour cela qu’absolument tout le monde peut pratiquer l’harmonisation globale, pourvu que certaines règles soient respectées :

  • Le praticien doit s’ancrer, par exemple en se représentant mentalement (en imaginant, en visualisant) que des racines lui sortent de la plante des pieds et s’enfoncent profondément dans la terre.
  • Il se relie également à l’énergie du ciel en imaginant des branches ou des antennes par exemple, qui partent du sommet de son crâne et rejoignent les étoiles. Certains préfèrent visualiser une corde. Plusieurs images sont possibles, choisissez celle qui vous convient.
  • Et enfin, le praticien se centre en imaginant une boule de lumière (d’énergie) au niveau de son ventre, légèrement en arrière et en-dessous du nombril. Ou, sans visualiser de boule, il peut tout simplement ressentir cet endroit de son corps, sentir qu’il s’y situe, que toutes les informations viennent de là et y arrivent. Cette démarche est facilitée par l’adoption de la respiration ventrale (gonfler son ventre à chaque inspiration au lieu de gonfler les côtes et le sternum plus haut). La plupart du temps, les occidentaux se situent spontanément et sans même y prendre garde au niveau de leur tête. Faire descendre son attention au niveau du bas-ventre est beaucoup plus adéquat, même au quotidien en dehors de tout soin, car nous sommes alors plus calmes, plus résistants, plus stables tant physiquement que psychologiquement, et plus efficaces.

Le thérapeute devra garder cette attitude durant toute la séance et plus particulièrement au moment du soin proprement dit (voir ci-après). Il devra aussi n’émettre aucune intention. Par exemple, il ne doit pas VOULOIR guérir le patient ou utiliser sa propre énergie pour l’aider. Il laisse simplement l’énergie universelle (qui est partout autour de lui) circuler à travers lui et c’est tout. Nous en reparlerons dans la partie « l’harmonisation proprement dite ».
Maintenant que le praticien est prêt, il va devoir chercher ce qui gêne le plus son patient, ce qui lui prend le plus d’énergie, ce qui provoque une disharmonie en lui. Le thérapeute place le patient assis ou debout en face de lui et lui demande de tendre un bras à l’horizontal sur le côté, paume tournée vers le sol, comme montré sur l’illustration suivante :

Position de départ du test musculaire (TRM).

Le thérapeute place une main sur l’épaule du bras non tendu et l’autre main sur le bras tendu. Avec cette dernière main il exerce alors une poussée régulière pendant une ou deux secondes (sans à-coups) vers le bas et le patient résiste de toutes ses forces pour tenter de garder le bras à l’horizontal. Le patient DOIT POUVOIR résister. S’il ne résiste pas c’est que le thérapeute a appuyé trop fort.
Une fois la force de résistance du patient évaluée, celui-ci doit dire à haute voix comment il s’appelle : s’il s’agit d’une femme qui s’appelle Jeanne, elle dit à haute voix « je m’appelle Jeanne ». Une seconde après la fin de sa phrase, le thérapeute exerce la poussée limite maximale déterminée précédemment. Normalement le bras du patient doit rester horizontal.
Le patient reprend ensuite la phrase mais avec un autre prénom que le sien, par exemple « je m’appelle Gertrude », alors que dans notre exemple la femme s’appelle Jeanne. Le thérapeute exerce de la même manière sa fameuse pression, la même que précédemment et, là, le bras devrait chuter car ce prénom ne correspond pas à la personne et cause donc une perte d’énergie, une faiblesse. La pression exercée par le thérapeute est bien la même, mais le bras descend car le prénom ne correspond pas au patient.

Chute du bras à l’évocation du mauvais prénom

A partir du moment où une différence de capacité à résister à la pression est observée entre le vrai prénom et le faux prénom, le thérapeute peut chercher les causes du trouble du patient : chaque phrase qui fera baisser le bras indiquera un trouble, une perte d’énergie. Tandis que si le bras résiste, c’est qu’il n’y a pas de problème. On recherche ainsi si le problème qui amène à consulter est d’origine physique, psycho-émotionnelle ou spirituelle. Pour chacune de ces trois catégories, il existe de nombreuses « sous-catégories ».

Par exemple, imaginons qu’une personne vienne en consultation pour un ulcère à l’estomac. Son bras baisse quand elle dit « j’ai un ulcère à l’estomac ». Il résiste pour « j’ai un ulcère à l’estomac d’origine physique » et pour « j’ai un ulcère à l’estomac d’origine émotionnelle ». Mais il baisse à l’énoncé de la phrase « j’ai un ulcère à l’estomac d’origine spirituelle ». La cause de l’ulcère est donc spirituelle. Le thérapeute en harmonisation globale continue alors son investigation en cherchant plus de précision : origine karmique, ancestrale, liée à des entités, etc. Imaginons que dans notre exemple le bras baisse pour « j’ai un ulcère à l’estomac lié aux ancêtres », on recherchera alors de quel(s) ancêtre(s) il s’agit.

Quand la cause précise est trouvée, on passe à l’harmonisation proprement dite, au soin. La personne qui est venue consulter répète la cause qui a été trouvée pendant quelques minutes, pendant que la thérapeute reste en état de présence (relié au ciel, à la terre, centré sur son ventre) pour « faire canal », pour aider à libérer et équilibrer ce qui doit l’être. Et c’est tout ! C’est simple et efficace.
Pendant ces quelques minutes la personne qui consulte et le thérapeute peuvent ressentir différentes sensations ou avoir des émotions qui émergent, mais ce n’est pas obligé.

Quand on ressent que plus rien ne se passe, que le soin semble être terminé, on teste à nouveau la phrase qui faisait baisser le bras et, si l’harmonisation a bel et bien été menée à son terme, cette fois le bras ne doit plus baisser ! Et l’ulcère à l’estomac disparaîtra rapidement dans les jours ou semaines suivantes.

Quels résultats en attendre et combien de séances d’Harmonisation globale® sont nécessaires ?

Une séance complète peut avoir une durée variable car pour un problème donné on peut trouver une ou plusieurs causes. Cela dépend des personnes. Et si l’on veut que le problème disparaisse, il faut évidemment harmoniser toutes les causes jusqu’à la dernière ! Tant que ce travail n’est pas terminé, le trouble ne va pas (complètement) guérir ou va récidiver après une période d’accalmie.

Le nombre de séances nécessaires est donc extrêmement variable d’une personne à une autre. Par exemple, une personne allergique à la poussière sera désensibilisée en 1 séance tandis qu’une autre personne, elle aussi allergique à la poussière, sera désensibilisée en 7 séances. Une personne se sortira de la dépression en 1 séance. Une autre s’en sortira en 6 fois…

Le résultat n’est pas garanti évidemment car aucune méthode (même la médecine allopathique) n’est 100% efficace ! Cela n’existe pas sur Terre… Mais l’amélioration ou l’auto-guérison (car c’est bien le patient qui s’auto-guérit, le thérapeute ne fait rien) sont au rendez-vous dans la majorité des cas (sans cela nous travaillerions avec une autre méthode car l’harmonisation globale n’aurait que peu d’intérêt !).

La pratique sur les animaux et sur les humains sur lesquels on ne peut pas faire le test musculaire directement.

Le test musculaire tel que décrit précédemment ne peut évidemment pas être appliqué directement sur une personne paralysée, sur un bébé ou sur un animal. Aucune chance qu’il tende la patte, résiste, parle… Pour pouvoir traiter ces cas, il faut qu’une tierce personne « se relie énergétiquement au bébé », à l’humain qui ne peut pas participer au test ou à l’animal. La tierce personne prête en quelques sortes son bras à l’être vivant qui a un problème de santé pour que le praticien en harmonisation globale puisse faire son enquête.

Par l’intermédiaire de cette tierce personne, la séance se déroule alors de la même manière qu’expliqué ci-avant. On part d’une phrase qui évoque le problème et qui fait baisser le bras (par exemple « j’ai mal à patte avant gauche ») puis on cherche toutes les causes physiques, émotionnelles ou spirituelles. Puis on les harmonise.

On peut ainsi aider n’importe quel animal domestique ou sauvage qu’il soit un mammifère, un oiseau, un reptile, un poisson… On peut harmoniser des troupeaux entiers ou d’autres groupes d’animaux, etc.

Les maîtres peuvent demander une consultation pour n’importe quelle pathologie physique ou comportementale ! Il n’y a pas de contre-indication à l’harmonisation globale ni de troubles hors de son champ d’application. L’harmonisation globale est notamment parvenue à « rééduquer » des animaux là où le comportementalisme classique échouait car il ne parvenait pas à débloquer la situation.

Utile

Pour voir les dates et lieux des prochains stages animés par les différents enseignants partout en France, ou pour vous abonner à la newsletter de l’harmonisation globale ou chercher plus de renseignements, vous pouvez vous rendre sur le site harmonisationglobale.com

Pour les formations que j’anime personnellement, rendez-vous sur mon site maitenew dans la partie « Harmonisation globale ».

Maïté Molla-Petot, thérapeute et formatrice en Harmonisation globale®, auteure de « Harmonisation globale pour l’animal » aux éditions Bussière.